Eligibilité à la 5G : conditions d’usage avantages et impacts

éligibilité à la 5G

La 4G occupait le marché des réseaux mobiles jusqu’en 2020. A la fin de cette même année, la 5G a été lancée et comptait déjà en mars 2021 plus de 4 millions d’utilisateurs. Un an après, le boom de la 5G n’est plus très loin et chacun se demande désormais ce qu’il en est de son éligibilité à la 5G. Nous vous en disons plus dans cet article.

L’éligibilité à la 5G : c’est quoi ?

L’enthousiasme que suscite la 5G chez les internautes n’est désormais plus à démontrer. La 5G est la cinquième génération de téléphonie mobile. En France, une gamme de forfaits 5G est proposée depuis deux ans par les opérateurs Bouygues Telecom, Orange, Free et SFR.

En téléphonie mobile, depuis 2012, allant des appels et passant par les SMS téléphoniques jusqu’à l’exploitation d’internet avec la 3G et la 4G, la 5G disponible désormais est une réponse parfaite à l’explosion de la consommation de data.

En effet, la 5G permet d’éviter la saturation du réseau dans les zones denses telles que les aéroports, les stades et les gares. L’activation de la 5G n’est cependant pas simultanée dans toutes les régions. Les opérateurs sont libres de l’activer dans les villes de leur choix et au moment voulu. Tout compte fait, la totalité du territoire français serait couvert à l’horizon 2030.

Lorsque la 5G est déployée dans votre région, il faut respecter un certain nombre de critères pour la recevoir : c’est l’éligibilité à la 5G.

Comment faire pour accéder à la 5G ?

Votre éligibilité à la 5G dépend de trois critères. D’abord, il faut vous assurer d’avoir un smartphone compatible 5G. C’est donc de votre équipement que dépend premièrement votre éligibilité à la 5G. Toutefois, il faudra que votre opérateur mobile fasse partie de la liste d’opérateurs pouvant faire des mises à jour logicielles sur les appareils de votre fabriquant.

Deuxièmement, vous devez contrôler que votre forfait comprend la 5G. Ainsi, lorsque votre smartphone intègre la technologie 5G, vous devez mettre à jour votre forfait mobile. Cependant il y a fort à parier que votre 5G ne fonctionne pas hors territoire français. Pour qu’il n’en soit pas ainsi, votre opérateur devra finaliser les accords de roaming avec ses pairs de l’étranger.

Troisièmement, il est nécessaire que votre territoire soit couvert en 5G. Pour le savoir, rien n’est plus simple. Il faudra consulter la carte de couverture de votre fournisseur de data. De même, il est possible de le vérifier via l’observatoire de l’Arcep.

Les avantages de l’éligibilité à la 5G

Latence, débit, densité sont les maître-mots qui justifient la nécessité de passer de la 4G à la 5G. En effet, avec la 5G le temps de latence est de 1ms. La latence est le temps de réaction qui s’écoule entre le moment de la commande et le moment où la réponse apparaît à votre écran.

De plus, l’autre raison qui pousserait à rechercher une éligibilité pour la 5G est le débit fort élevé. Cela se remarque par des vitesses de connexion 10 fois plus rapides que la connexion 4G.

En outre, la forte vitesse de connexion de la 5G favorise une grande densité d’appareils qui sont connectés au kilomètre carré. On parle d’ailleurs d’un minimum d’1 million d’appareils par kilomètre carré.

Quels dangers pour la santé de l’être humain ?

Le déploiement de la 5G est vu comme une prouesse par la plupart des internautes. Mais certains ne cessent pas de se demander si la quête pour l’éligibilité à la 5G ne serait pas une course folle vers la mort.

Les différents résultats des expériences de l’ANFR et de l’OMS ne citent rien d’alarmant. En effet, selon les conclusions de l’Agence Nationale des Fréquences, « les résultats montrent que l’exposition est comparable avant et quelques mois après l’introduction de la 5G ».

De son côté, l’OMS en 2011 avait déjà classé l’affaire. Selon les données que l’Organisation Mondiale de la Santé a collectées, les ondes-électromagnétiques sont de la catégorie des ‘’cancérogènes possibles’’ de même que le fioul, les légumes en saumure et les fumées de moteur.

Toutefois, l’OMS concède que « la recherche n’a pas pu fournir de données étayant une relation de cause à effet ». Quant à l’ANSES, « les simulations disponibles laissent présager des niveaux d’exposition faibles ».

 

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